Dans un long-métrage où la photographie est irréprochable et le jeu d’acteur juste moins reprochable, j’ai été moins conquis par l’univers d’Elton John que par celui de Freddy Mercury. C’est très « acoustiquement » personnel, mais c’est aussi le jeu de cette critique. Les nostalgiques des costumes d’E.J. apprécierons ce retour en arrière. Ce biopic musical est psychologique et plus faiblement narratif: sans incohérences, le scénario omet de justifier certaines évolutions du personnage qui apparaîtra surtout déjanté (peut-être l’est-il à ce point ?). Ces éléments manqueront à ceux qui ne connaissant pas la vie et/ou la discographie de l’artiste.
Ma note: 7/10. A l’exception de la photographie, Rocketman souffre de la comparaison avec la référence Bohemian Rhapsody.