Vu en avant première en présence Michel Hazanavicius et Bérénice Bejo.
Le Prince Oublié déroule la fin de l’enfance de la jeune Sofia. Petit à petit, le Papa Héros laisse sa place dans les rêves de sa fille qui découvre les activités d’une fille de son sage. L’un du mal à du mal à accepter la fin de son rôle d’idole de père, l’autre est perdue dans les chamboulements de l’adolescence…..
L’idée, à l’instar de Sucker Punch, d’imager une histoire dans un univers imaginaire est intéressante. Elle pêche toutefois dans sa réalisation à cause d’un manque de profondeur dans les personnages, surtout dans celui interprété par B.B. qui n’apporte que la classique présence féminine bienveillante. On aurait pu s’en passer. Ceci ne sera pas un problème pour le public jeune visé, qui s’accommodera très bien des décors très utopiques de l’univers de Sofia.
Ma note: 15/20. Ni le meilleur ni le pire long-métrage d’Omar Sy.